lunes, 31 de agosto de 2009

REFORESTATION AU CHILI

OBJECTIF :

Situé dans la région de l’Auracanie, ce projet de reboisement de 200 ha vise non seulement à « séquestrer » du carbone à travers la croissance des arbres, mais également à restaurer les sols fortement érodés et créer des sources de revenus supplémentaires pour les populations concernées.

PARTENAIRE :

ONF International est spécialiste de la gestion d’espaces naturels à l’échelle internationale. ONF International est une filiale de l’Office National des Forêts, établissement public français responsable de l’aménagement et de la gestion des forêts des collectivités publiques.


DESCRIPTION/CONTEXTE :


La commune de Los Sauces, située à 600 km au Sud de Santiago, est occupée essentiellement par des familles de culture Mapuche, peuple indigène dont l'identité culturelle est aujourd'hui encore très forte. Les indices socio- économiques reflètent une situation difficile : 82 % de la population Mapuche vit en deçà du seuil de pauvreté, et le niveau d'éducation est plus faible que la moyenne nationale. Leur activité consiste essentiellement en un élevage limité et extensif, et des cultures agricoles de subsistance.

Dans cette région, la disparition des ressources forestières naturelles et le manque d'eau sont des problèmes récurrents. Les sols présentent des indices importants d'érosion et de dégradation, liés à l'absence de couverture végétale et à une mauvaise gestion agricole. Le projet a pour objectif d'infléchir cette situation par l’installation de reboisement productif chez les petits propriétaires.


BENEFICES ENVIRONNEMENTAUX :


      Sols : l’installation des plantations avec notamment les ouvrages de conservation des sols va améliorer la fertilité des terrains grâce à la réduction de l’érosion et l’accumulation de matières organiques.

      Ressources hydriques : l’installation des plantations va entraîner une meilleure régulation des régimes des cours d’eau et empêcher leur assèchement.

      Biodiversité : l’installation d’un couvert forestier va créer un habitat propice au retour de cortèges floristiques et faunistiques plus riches. Par ailleurs, les habitants utiliseront ces plantations pour subvenir à leurs besoins en produits ligneux (bois de feu, piquets...) et la pression sur la forêt naturelle diminuera.

      Climat: 58 000 tonnes de CO2 equivalent séquestés à la fin du cycle de vie de production (estimation prévisionnelle)


BENEFICES SOCIAUX :


      Création d'emplois pour les petits propriétaires, augmentant leur niveau de vie et leurs compétences professionnelles.

      Accès facilité des petits propriétaires aux mécanismes de subvention à la plantation, par la création d'un fond rotatoire.

      L’exécution du projet augmentera les revenus des foyers concernés de 30 %, sans compter les emplois indirects. Parallèlement le projet prévoit de former les propriétaires aux pratiques sylvicoles et commerciales pour bien gérer leurs plantations.

      Enfin, les multiples concertations permettront aux communautés locales de mieux se structurer et d’avoir plus de prises sur leur propre développement.

source: http://www.actioncarbone.org/projet.php?typ=ck&id=23

APADRINAR ARBOLES para CONTRARRESTRAR MIS EMICIONES DE CO2

Un viaje cuesta mucho oxígeno, sobre todo si se hace en los medios de transporte modernos. Según explica la página web Turismo-sostenible.org, un avión consume en su despegue tanto oxígeno como el que necesita una familia media en un año, y además contamina. Si este y otros datos sobre los efectos negativos de aviones, coches o trenes le provocan un problema de conciencia, puede compensar al planeta apadrinando unos cuantos árboles a través de este sitio de Internet.

Turismo-sostenible.org es un proyecto de la Asociación de Monitores Medioambientales Almijara de Málaga, que ha suscrito un acuerdo con el ayuntamiento de esta ciudad andaluza para reforestar unas 100 hectáreas de terreno municipal. Para hacerlo, cuentan ya con la ayuda económica de un centenar de internautas que han decidido paliar los daños que provocan sus viajes apadrinando árboles.

El sitio ofrece una herramienta que calcula automáticamente la cantidad de dióxido de carbono que emite cada viajero cada vez que toma un vuelo, autobús, coche o tren. Para obtener este dato, debe elegirse medio de transporte y señalar la longitud del trayecto. El sistema no sólo ofrece el dato de la contaminación, sino que sugiere una cifra de árboles que deberían plantarse para contrarrestar el efecto negativo de las comunicaciones modernas.

Un centenar de personas han dado el siguiente paso y ha adoptado algunos ejemplares, de cuya plantación se encarga la asociación malagueña sin ánimo de lucro. Ésta ofrece varios documentos en la web que incluyen información sobre turismo sostenible.

fuente: http://www.elpais.com/articulo/internet/adopto/arbol/compenso/contaminare/proximo/viaje/elpeputec/20061220elpepunet_2/Tes


LE GANG DU SARI ROSE

Pas facile de se faire entendre lorsqu'on est une femme en Inde. Encore moins lorsqu'on est en bas de l'échelle sociale. Depuis son enfance pauvre à Chitrakoot, un petit village du district de Banda, en Uttar Pradesh (nord), Sampat Pal n'a pourtant jamais hésité à élever sa voix. "Je ne demande jamais rien qui soit injustifié. C'est ça ma force", explique t-elle. Très vite, elle a compris qu'il allait falloir "crier plus fort que les autres pour se faire entendre".

Issue d'une famille rurale de la basse caste des Gadarias (les gardiens des troupeaux), cette femme de 47 ans en fait dix de plus. Son visage paraît usé, durci par les luttes qu'elle mène sans interruption depuis des années. Ses yeux perçants et son rire un brin provocateur traduisent une assurance et une détermination certaines. Dans son État natal d'Uttar Pradesh, les démunis la vénèrent, les membres des hautes castes et les représentants de l'Etat la craignent. Tous la respectent.

Mariée à douze ans, elle part vivre chez sa belle-famille trois ans plus tard. Cantonnée dans un rôle d'épouse soumise, elle se rebelle. Révoltée contre le machisme, mais aussi la hiérarchie des castes qui continue de régir strictement la société indienne rurale, elle décide de tenir tête aux Brahmanes du village. Ses affronts successifs lui valent rapidement une réputation de fauteuse de troubles. Sa tête est alors mise à prix. Elle reçoit la visite d'un tueur à gage qu'elle parvient à faire renoncer à sa basse besogne. Soupçonnant le clan de sa belle-famille et des brahmanes du village, Sampat Pal n'a d'autre choix que de faire ses valises.

Son courageux combat, qu'elle retrace aujourd'hui dans son autobiographie, ne fait pourtant que commencer. Prenant conscience de la force du nombre, elle encourage les pauvres, en particulier les femmes, à s'organiser pour faire valoir leurs droits et réclamer justice. En 2005, elle forme le Gulabi gang, ou "gang des saris roses", un groupe de femmes qui organise sit-ins et opérations coup-de-poing, là où la police et le gouvernement d'Uttar Pradesh refusent d'intervenir.

Bien qu'armées de lathis, ces fameux bâtons de bambou chers aux policiers indiens, les femmes en rose n'ont rien de gangsters ou de crapules. L'appellation et l'uniforme qui va avec servent avant tout à "créer un sentiment d'unité, de force", explique Sampat Pal. "Notre but n'est pas de répandre la peur mais de faire valoir nos droits", ajoute t-elle.

Fonctionnaires et policiers corrompus, Brahmanes qui abusent de leur statut, maris violents qui maltraitent leurs épouses : tous font les frais de Sampat Pal et de son gang hyperactif. Comprenant qu'une dose de provocation est nécessaire pour faire avancer les choses, elle n'hésite pas, par exemple, à frapper un policier qui refuse de prendre une plainte ou à tirer l'oreille d'un mari abusif.

Le Gang des saris roses compte aujourd'hui près de 60 000 femmes dans ses rangs, selon les dires de son chef. Cette montée en puissance du gang de Sampat Pal suscite un sentiment à la fois d'admiration et d'inquiétude chez les politiciens locaux. "Les ministres paniquent car je réalise des choses qu'ils n'ont jamais été capables de faire. Ils ont honte", lance t-elle, triomphante. Elle tient d'ailleurs farouchement à son indépendance et affirme n'avoir "aucune confiance dans les partis politiques", qu'elle a toujours refusé de rallier, malgré quelques offres alléchantes.

Cela fait bien longtemps que Sampat Pal ne compte que sur ses fidèles et sur elle-même pour agir. "Mes idées passent et je sais qu'on aura du succès sans passer par une quelconque structure. Je ne m'arrêterai plus".

source: http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-l-indienne-sampat-pal-ou-la-justice-en-sari-rose-2383.asp?1=1


lAS GUERRERAS DEL SARI ROSA

Sampat Pal es una leyenda viva. Activista y feminista, antiviolenta pero no sumisa. Hace tres años fundó su propio ejército en una de las zonas más deprimidas de India. Casi cien mil mujeres batallan hoy contra la corrupción política, los abusos de poder y la violencia de género. ‘El País Semanal’ viaja a Uttar Pradesh para conocer su lucha.

Andaos con ojo, maridos violentos, policías untados, políticos corruptos, burócratas indolentes... Ahí fuera hay una mujer dispuesta a no dejaros pasar ni una más. Se llama Sampat Pal. No está sola. Tiene detrás a otras 100.000 como ella. Lucharán juntas hasta donde haga falta contra la injusticia en India. Son las guerreras del ejército de los saris rosas.

Su comandante en jefe acariciará tu rostro cuando le mires a los ojos por primera vez. No hay que dejarse engañar. También parece querer sacarte las entrañas mientras te sondea. Así es Sampat Pal. Impredecible. Cariñosa cuando quiere. Agresiva si es necesario. Puro nervio. Un terremoto de 47 años y poco más de metro y medio de estatura. "¡Gulabi Gang vencerá!", grita al conocer cualquier fechoría merecedora de la intervención del Gulabi Gang, la banda del color rosa. Sus huestes responden al grito de guerra blandiendo los lathis, esos garrotes que emplean como único medio de defensa personal. "Hoy habrá movida", susurra Sampat guiñando un ojo. Y sube al jeep que zumbará por la destartalada carretera de Atarra. Cien soldados esperan ansiosas la llegada de su líder para llevar a cabo una marcha por las calles de Fatehpur.

Atravesamos el corazón de Bundelkhand. Esta deprimida región al norte de India pertenece al Estado de Uttar Pradesh, el más poblado del país, con 175 millones de habitantes. La pobreza campa aquí a sus anchas, lejos del milagro económico orquestado por el primer ministro, Manmohan Singh, a principios de los noventa cuando ocupaba la cartera de Finanzas. El monzón que asoma a principios de julio está a la vuelta de la esquina. El calor y la humedad son sencillamente insoportables. Esquivamos vacas, tractores rebosantes de fardos de paja, camiones, bicicletas y motocarros atestados de gente. La carretera es un río humano. Hombres, mujeres y niños caminan desde primera hora hacia las bombas de suministro de agua en busca de aseo y refresco. Sampat señala el pueblecito de Kairi desde la ventanilla del vehículo. "Ahí nací yo". Ahí comienza esta historia.

La pequeña Sampat vio la luz entre arrozales, búfalos, ovejas famélicas que beben en aguas inmundas y parias tendidos a la sombra de los chamizos. Nada de todo eso parece haber cambiado en cinco decenios. Hija de pastores, ambos analfabetos y miembros del clan de los Gadaria, estaba destinada a no ir al colegio. Debía aprender a cuidar rebaños y a elaborar chapatis, las deliciosas hogazas de pan indio. Su familia sólo esperaba de ella que se convirtiera pronto en joven esposa. Demasiado pronto.

La niña mostraba interés por aprender otras cosas. El alfabeto, por ejemplo. Su tío Kakka convenció a sus padres para que la dejaran ir a la escuela durante dos cursos. Pero nadie pudo evitar que contrajera matrimonio a los 12 años. "Perdí la virginidad siendo impúber", ha contado en el libro sobre su vida, El ejército de los saris rosas, publicado en España por la editorial Planeta. Hoy, con la mirada perdida y los ojos vidriosos, rememora: "Aquella terrible experiencia me hizo desarrollar una especial empatía hacia el dolor y el sufrimiento de las mujeres". Quizá fuera el detonante de todo lo que vendría después. Una vida entregada al activismo social. Desde la organización de talleres de costura para mujeres hasta la fundación, en 2003, de una especie de ONG para el desarrollo y la financiación de pequeños grupos de trabajadoras. Sampat también comenzó a mediar en conflictos entre vecinos y familiares. Y a enmendar la plana a maridos violentos. "Llevábamos a cabo actividades cada vez más combativas. Me seguían las trabajadoras. Un día pensé: '¿Por qué no llevar un uniforme que nos distinguiera al realizar nuestras acciones? Podría significar que algo nuevo estaba pasando en este rincón de India. Algo hecho exclusivamente por mujeres".

Así nació, en marzo de 2006, el ejército de los saris rosas. Con apenas 25 soldados, de entre 40 y 60 años. Muchas de ellas, viudas. "Hoy somos casi 100.000. Quise crear una unión femenina, una unión poderosa", explica su fundadora. "El color rosa que vestimos significa revolución. Luchamos contra la dominación masculina imperante, contra los padres que no permiten a sus hijas recibir educación y apañan sus matrimonios siendo niñas. Ayudamos a mujeres maltratadas, pero también a pobres y parias humillados por los brahmanes de casta superior. También nos enfrentamos a los pradhans, los jefes de gobierno de los pueblos. Muchos son corruptos, no se preocupan de dar trabajo a los necesitados, ni llevan a cabo un reparto justo de la propiedad de las tierras".

[...]

Fuente: http://www.elpais.com/articulo/portada/guerreras/sari/rosa/elpepusoceps/20090830elpepspor_9/Tes


domingo, 30 de agosto de 2009

SALON sur ENERGIES RENOUVELABLES EN AFRIQUE

Après deux éditions organisées respectivement en 1983 et en 1985 à Dakar, Expo Carrefour Afrique organise du 21 au 25 avril 2009 à Dakar, le 3e Salon International des Énergies Renouvelables et de l’Environnement en Afrique.
[...]

Objectifs

Le Salon International des Énergies Renouvelables et de l’Environnement a comme objectifs principaux :

  • La promotion et le développement en Afrique, des énergies renouvelables ;
  • L’accroissement du potentiel d’exploitation et d’utilisation des énergies renouvelables ;
  • Le renforcement et la vulgarisation des mesures de préservation de l’environnement ;
  • Le transfert de technologies adaptées au contexte africain ;
  • La promotion des investissements dans les différentes filières d’exploitation des énergies renouvelables et des sous secteurs de l’environnement ;
  • La mise en relation d’affaires entre les professionnels pour l’établissement d’accords de partenariat techniques, financiers ou commerciaux ;
  • La vulgarisation des programmes, des projets de réalisation et des objectifs tant au plan national, régional, qu’international.
  • Les échanges d’idées et d’informations entre professionnels, pouvoirs publics et organisations d’encadrement et de promotion ;
  • La promotion des procédés, systèmes ou équipements.
[...]

Source: http://www.sinergie-afrique.com/presentation.php

ECOALDEAS

Somos un grupo de 15 personas. En el año 2007 empezamos a trabajar la idea de vivir en comunidad y finalmente el 2 de marzo de 2009 el grupo de avanzadilla (8 adultos y 2 niños) se trasladó a la finca que compramos. Ahora estamos trabajando arduamente para que los pilares sociales, ambientales y humanos se materialicen siendo consientes de la etapa de pioneros por la que atravesamos. Durante este año esperamos la incorporación de nuevos ecoaldeanos a través de los protocolos acordados en Asamblea (etapa de acercamiento y solicitud, periodo de adaptación, y por último, la ratificación definitiva por parte de la Asamblea y de la persona interesada en hacer parte de la comunidad).

CÓMO NOS ORGANIZAMOS
El máximo órgano de gobierno que nos rige en la Ecoaldea Sámara es la Asamblea. Nos reunimos periódicamente dependiendo de nuestras necesidades.
Para la toma de decisiones de importancia debemos llegar a un consenso.
Si en algún momento no podemos llegar a un acuerdo sobre algún tema conflictivo, posponemos la toma de decisiones y nos damos un periodo importante de reflexión.

Ninguna decisión que tomamos es definitiva ni irreversible. Cualquier medida puede ser revisada periódicamente para asegurarnos de que sigue respondiendo a nuestras necesidades actuales.

DÓNDE VIVIMOS
Estamos ubicados en una finca de 90 hectáreas, a 4 Km de la aldea de Los Ruices, y a 18 Km de Requena, ciudad perteneciente a la Provincia de Valencia, España. El 85 % del terreno es de bosque de pino y algunas encinas. También podemos encontrar esparto y hierbas aromáticas como tomillo, romero, manzanilla, rabo de gato, y hierbas silvestres como rúcula. El 15% restante está destinado para cultivo. Contamos con una masía en ruinas, de más de 200 años que estamos reconstruyendo y que ya empezamos a habitar. Además, disponemos de una casa pequeña construida hace 2 años. Allí tenemos nuestro principal espacio comunitario (cocina, despensa, comedor y salón). Por un lado del terreno hay un nacimiento de agua que baja por un pequeño riachuelo. Éste nutre a su vez varias pozas que refrescan el paisaje de ramblas y barrancos. Por los camino podemos encontrar jabalíes, conejos, liebres, perdices, cuervos y águilas. Tenemos rincones privilegiados en los que nos podemos perder y en donde disfrutamos de la paz que nos da la naturaleza.

VALORES
• Recuperar la dignidad del trabajo con la tierra.
• Amar y respetar a la naturaleza.
• Vivir la salud como un concepto integrado, teniendo en cuenta el equilibrio que debe haber entre el cuerpo, la mente, el espíritu y la naturaleza.
• Fomentar el desarrollo personal, la responsabilidad y la toma de consciencia con uno mismo y con el grupo.
• Que las personas dispongan de su tiempo y puedan establecer sus propios ritmos de vida.
• Responsabilizarnos con el mundo en el que vivimos y aportar propuestas de mejora.
• Que la espiritualidad sea un aspecto a explorar dentro de nuestro ser.
• Ser un referente para las personas que quieren llevar una vida sostenible y de crecimiento.

OBJETIVOS
• Tener una huerta orgánica que nos abastezca de hortalizas, verduras y frutas dentro de un plazo prudencial de dos años.
• Construir viviendas donde cada habitante tenga sus necesidades vitales cubiertas.
• Crear espacios comunitarios para la belleza, el juego, la creatividad y la libre expresión.
• Construir infraestructuras para realizar las actividades de formación.
• Tener en funcionamiento una Panificadora a mediano plazo.
• Desarrollar una red de distribución de aguas y tratarla de forma eficiente.
• Gestionar adecuadamente los residuos. Compost, retretes secos, reciclaje, etc.
• Obtener placas solares para poder abastecernos de la energía necesaria.
• Ubicar y organizar un eco-camping para voluntarios y visitantes.
• Servir de plataforma de encuentros, seminarios, cursos, convenciones, etc
• Trabajar por la conservación de especies autóctonas animales y vegetales.
• Tener en cuenta modelos de vida sostenible ya desarrollados en otros lugares de nuestro país y fuera de él.

fuente:http://www.ecoaldeas.org/?q=proyecto/s-mara

sábado, 29 de agosto de 2009

CAMBIO CLIMÁTICO Y AGRICULTURA ECOLÓGICA



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Bruselas, 28/07/2009. Nota Prensa Grupo IFOAM UE/SEAE– El primer encuentro de Ministros de agricultura de la Unión Europea (UE) bajo presidencia sueca, tuvo lugar el pasado día 13/07/09 en Bruselas y se dedicó a analizar las estrategias de investigación y el “libro” blanco de la Comisión sobre estrategias de adaptación al cambio climático en la agricultura.

Con este motivo, Christopher Stopes, Presidente del Grupo IFOAM UE (1), manifestó: La agricultura ecológica tiene un elevado potencial para adaptarse a las consecuencias del Cambio Climático y enfrentar el riesgo que supone, así como de producir alimentos de manera sostenible, lo que también se reconoce en el documento de la Comisión (2). El Cambio Climático y la pérdida de la calidad del suelo son amenazas serias para el futuro de la producción de alimentos, por ello pedimos a la presidencia Sueca y al Consejo que tome las medidas para abordar estos retos usando la agricultura ecológica como ejemplo de buenas prácticas. La Agricultura Ecológica supone un modelo a imitar en los futuros sistemas agroalimentarios. Esta oportunidad debe ser tomada en consideración, desarrollarse mejor y ampliarse por los elaboradores de políticas europeas.”

Otto Schmid, vicepresidente del Grupo IFOAM UE, añadió: “la investigación es una herramienta decisiva para mejorar las prácticas agrícolas par adaptarse a la mitigación del cambio climático y garantizar la seguridad alimentaria con una base sostenible. La Plataforma Tecnológica (TP) Organics ofrece ya una visión de una agenda para la investigación en agricultura y alimentación ecológica en 2025 (3). Los investigadores, agricultores y representantes de empresas ecológicas mantendrán un encuentro de partes en Bruselas (4) con el fin de debatir las necesidades de investigación y una agenda estratégica de investigación”. Igualmente esta plataforma tecnológica se reunirá en Mallorca, el 18 de septiembre en las XV Jornadas Técnicas mediterráneas de la Sociedad Española de Agricultura Ecológica (SEAE), con los agentes sociales del Mediterráneo para el mismo fin (5)

El cambio climático será una prioridad de la Presidencia Sueca que organizará una conferencia entre el 23 y 24 de noviembre en Lund bajo el lema “Climate Smart Food” (Clima y alimentación inteligente). Asimismo la reunión informal de ministros de agricultura de septiembre 12-13 de septiembre, tendrá esta temática de debate.


Más info:
IFOAM EU Group, phone + 32-2-280 12 23, Fax: +32-2-735 73 81,
info@ifoam-eu.org Esta dirección de correo electrónico está protegida contra robots de spam. Necesitas activar JavaScript para poder verla , www.ifoam-eu.org
SEAE, Tel. +34 96 126 72 00. Fax: +34 96 126 71 22. Móvil: +34 627 343 399
seae@agroecologia.net Esta dirección de correo electrónico está protegida contra robots de spam. Necesitas activar JavaScript para poder verla www.agroecologia.net
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Notas:
(1) El IFOAM EU Group representa a más de 300 organizaciones miembro de IFOAM (Federación Internacional de Movimientos de Agricultura ecológica) en la UE-27, los países en vías de acceso y de la EFTA. Las organizaciones miembro incluyen: consumidores, agricultores y elaboradores; organizaciones de investigadores, educadores y asesores; empresas comerciales ecológicas y entidades de certificación

AGRICULTURE BIOLOGIQUE EN FRANCE

L’agriculture biologique, qui repose sur un cahier des charges interdisant les engrais et pesticides de synthèse, représente pour FNE (France Nature Environnement, une association/federation) des associations pour l'environnement) une excellence environnementale. Mais elle connaît en France un retard de développement considérable par rapport aux autres pays européens : 2% seulement de la surface agricole alors que la consommation est en constante progression ! FNE agit pour un développement des surfaces en agriculture biologique et pour l'introduction des produits biologiques dans la restauration collective.

Dans le cadre du Grenelle de l’environnement, FNE avait demandé d’atteindre 10% des surfaces agricoles françaises en agriculture biologique d’ici 2012, en agissant sur l’offre (aide à la conversion des exploitations et à leur maintien) et sur la demande (augmentation de la consommation de produits biologiques).

Ces objectifs ont été retenus dans les conclusions du Grenelle :

  • 6% de surfaces en agriculture biologique d’ici à 2010 et 20% en 2020
  • 20% d’approvisionnement en bio dans la restauration collective publique d’ici à 2012
source: http://www.fne.asso.fr/fr/themes/sub-category.html?cid=28

viernes, 28 de agosto de 2009

ISRAËL & PALESTINE

Les membres d’Avaaz israéliens et palestiniens, tout comme les autres membres de notre mouvement ainsi que l’opinion publique internationale, appuient la cohabitation pacifique de deux États, l’Israël et la Palestine, et le respect des droits de l’homme à l’intérieur de leur territoire. Pour soutenir ces objectifs, Avaaz a organisé des campagnes locales, régionales et internationales. La vidéo « Stoppez ce choc des civilisations », traduite dans neuf langues, a été diffusée pour la première fois en mars 2007 et a été vue plus de 2,5 millions de fois. Elle a été choisie « Vidéo politique de l’année » par les utilisateurs de YouTube, entre autres distinctions, et a été diffusée à la télévision dans plusieurs pays.
Les membres d’Avaaz ont financé une campagne d’affichage novatrice dans Jérusalem et une campagne publicitaire dans différents journaux israéliens et palestiniens et lancé une pétition qui a reçu l’appui de 375 000 personnes réclamant la fin du blocus de l’aide humanitaire à Gaza et un cessez-le-feu immédiat. Au cours des mois de mai et de juin, les membres d’Avaaz ont aussi financé une campagne de grande envergure en ligne et dans d’autres médias exigeant un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. Celle-ci a été vue par environ un million d’Israéliens. Le Hamas et Israël ont commencé un cessez-le-feu le 19 juin 2008.

source: https://secure.avaaz.org/fr/report_back_2/#tibet

LUCHANDO para TIBET

Incitados por la violenta represión de China a las protestas y manifestaciones de marzo de 2008 en el Tíbet, miembros de Avaaz generaron la mayor petición global por Internet de la historia, un llamamiento al diálogo positivo entre China y el Dalai Lama que alcanzó 1,6 millones de firmas en tres semanas. La petición se entregó en privado a funcionarios chinos y en el marco de un Día de Acción global en 84 ciudades, coordinado con grupos de defensa tibetanos en todo el mundo. (Haz clic para ver más información y las fotos ampliadas). Después del clamor, China reinició las conversaciones con el Dalai Lama, según se dice como respuesta a la presión internacional.

fuente: https://secure.avaaz.org/es/report_back_2/#tibet

jueves, 27 de agosto de 2009

DESAROLLO SOSTENIBLE EN INDIA

En el Día Mundial del Medio Ambiente Intervida continúa trabajando por el desarrollo sostenible de las comunidades rurales en India, fomentando la utilización de combustibles alternativos para consumo doméstico a partir de la implantación de biodigestores.

Intervida trabaja en India desde hace más de una década para mejorar la calidad de vida de las gentes de las comunidades donde interviene, impulsando la implantación de prácticas que satisfagan las necesidades de las poblaciones en armonía con el entorno donde habitan.

La población rural tradicionalmente utiliza la leña como combustible, si bien este método conlleva elevados índices de deforestación y erosión del suelo. Desde 2008 Intervida lleva a cabo la implantación de biodigestores en las regiones de Velhe y Nashik, los cuales suministran a las comunidades un combustible alternativo (biogás) para el uso doméstico y abono mejorado para la fertilización de los suelos (biol). Actualmente funcionan doce plantas de biodigestores en estas zonas.

Un digestor de desechos orgánicos o biodigestor es un contenedor cerrado, hermético e impermeable, dentro del cual se deposita el material orgánico a fermentar (excrementos de animales y humanos, desechos vegetales, etc.) en determinada dilución de agua para que se descomponga, produciendo gas metano y, como producto secundario, fertilizantes orgánicos ricos en nitrógeno, fósforo y potasio que mejoran considerablemente el rendimiento de las cosechas.

Beneficios del biogás
India presenta índices elevados de deforestación y erosión del suelo, pero la leña sigue siendo el principal recurso energético para el consumo familiar, por lo que son necesarios métodos alternativos que preserven el medio ambiente.

El establecimiento de biodigestores en estas regiones permite a las familias sacar provecho de los desechos orgánicos que generan a diario, al mismo tiempo que se reducen las probabilidades de que aparezcan focos de infección por la acumulación de residuos.

“Un biodigestor permite cubrir las necesidades de una familia compuesta por cinco miembros. Gracias a las plantas de biogás se puede cocinar sin riesgo de contraer enfermedades respiratorias y oculares como consecuencia de los humos, y sin tener que salir diariamente a la montaña a recolectar leña. Así, las mujeres, que son normalmente las encargadas de estas labores, pueden dedicar este tiempo a su capacitación y formación, participación en la vida comunitaria, etc.”, comenta Cristina Velázquez, Responsable del sector de Medio Ambiente de Intervida.

Intervida promueve la utilización del biogás como sustituto de la leña para consumo doméstico, pues además de contribuir a la preservación de los bosques, libera a las mujeres y niños de salir a recolectar madera a diario, por lo que disponen de más tiempo para otros usos productivos o capacitación, sin que los menores tengan que ausentarse de la escuela.

“Desde Intervida estamos potenciando entre las familias rurales indias el uso del biogás para cocinar, pues es una fuente energética alternativa cuyo proceso de generación no contribuye al cambio climático. Además, la tecnología de biodigestores es de fácil implantación y mantenimiento, por lo que puede ser fácilmente replicable por otras comunidades dado su bajo costo, y supone un ahorro para las familias que no tienen contrapartida económica por el consumo energético”, señala Cristina Velázquez.

Tecnología apropiada
El biodigestor es un sistema sencillo de implementar con materiales económicos y se está introduciendo en comunidades rurales aisladas y de países en desarrollo para solventar la problemática energética-ambiental y realizar un adecuado manejo de los residuos. Los biodigestores familiares se caracterizan por su bajo coste, fácil instalación y mantenimiento, y sólo requieren materiales locales para su construcción, por lo que se consideran una “tecnología apropiada”.

El biogás se obtiene a partir de residuos orgánicos sometidos a un proceso de digestión anaeróbica en los biodigestores. La digestión anaeróbica constituye una tecnología socialmente apropiada que beneficia a las comunidades y su entorno, al transformar la materia orgánica de la basura en un combustible alternativo (conformado por un 60% de metano y un 40% de dióxido de carbono), y un residuo estabilizado que constituye un abono enriquecido para los suelos.

Comprometida con los Objetivos del Milenio, concretamente con el séptimo, garantizar la sostenibilidad del medio ambiente, Intervida continúa trabajando en la implantación de plantas de biogás en las áreas rurales de India de forma coordinada con los miembros de cada comunidad, a los que se les forma y capacita para su gestión y mantenimiento. “Durante el año 2009 tenemos previsto implantar plantas de biogás en tres aldeas más”, añade Cristina Velázquez.

Sobre Intervida
Intervida es una ONG internacional de cooperación al desarrollo que actúa localmente con las comunidades para promover el cambio social sostenible a través de la mejora de las condiciones de vida de las poblaciones vulnerables, especialmente de la infancia, e incidiendo en las causas de la pobreza y las desigualdades.

fuente: http://www.intervida.org/83/section.aspx/1048/Proyectos-de-produccion-de-biogas-fomentan-el-desarrollo-sostenible-en-India/

miércoles, 26 de agosto de 2009

REINTRODUCCIÓN de GACELAS en SENEGAL

La veintena de gacelas dorcas saharauis (Gazella dorcas neglecta) que un equipo del Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC) trasladó en abril de 2007 a Senegal, con el objetivo de reintroducir esta especie extinguida a principios de los años 70 en el país africano, se ha duplicado.
Hoy son 38 las gacelas dorcas (13 machos y 25 hembras) que habitan en la Reserva de Fauna de Guembeul, cerca de la ciudad senegalesa de San Luis, donde llegaron 20 hace dos años desde el Parque de Rescate de Fauna Sahariana, del CSIC, en Almería.
El equipo científico ha repetido ahora ese viaje con nuevos objetivos: reforzar genéticamente la población de Guembeul y comenzar con la última fase del proyecto, el traslado de gacelas a una nueva reserva, la de Ferlo Norte, donde puedan vivir por primera vez en régimen de libertad o semilibertad.

fuente: http://www.plataformasinc.es/index.php/esl/Multimedia/Imagenes/Galeria-de-actualidad-del-11-al-15-de-mayo-2009/La-poblacion-de-gacelas-dorcas-reintroducida-en-Senegal-se-duplica-en-dos-anos

Le GERES et les ENERGIES RENOUVELABLES au LADAKH


Pendant 20 années, GERES a réalisé des projets pour améliorer les conditions de vie par la diffusion de techniques solaires adaptées aux zones froides et ensoleillées.

Le Ladakh est situé au nord-ouest de l'Inde entre la Chine, le Tibet et le Pakistan. Sur un plateau désertique, à une altitude moyenne de 3 500 m, il est relié au monde par trois cols de plus 4 200 m abrité de la mousson par la haute chaîne occidentale de Himalaya (7400m).

En 1982, une mission de GERES à Ladakh a révélé deux problèmes:

  • Quelques soient les matériaux de construction employés, il gèle toujours à l'intérieur des maisons pendant l'hiver. Il n'y a que peu de bois de chauffage disponible pour chauffer des maisons et la chaleur dégagée par la cuisson des aliments ne suffit jamais pour assurer un confort minimum.
  • La production agricole n'est pas suffisante pour les besoins des populations locales.

Les femmes et les enfants sont directement affectés par les tâches liées à l'énergie dans les régions de montagne. D'autre part, le prélèvement de bois fragilise l'ensemble des écosystèmes de montagne (érosion en particulier).

Les solutions à faible coût et à impact environnemental limité, utilisant les économies d'énergie et l'énergie solaire passive, existent mais les populations et les associations locales les connaissent mal, alors que ce sont plusieurs centaines de milliers d'habitants vivent en permanence dans l'Himalaya à plus de 3000m d'altitude.

Dès 1984, le GERES, avec l'aide de la Commission Européenne a lancé un premier projet pour améliorer des conditions de vie au Ladakh se basant sur l'exploitation des énergies renouvelables:

  • Des murs solaires pour les bâtiments. Ce système de chauffage complètement passif est techniquement très simple, parfaitement adapté au contexte local, efficace et bon marché. Il peut s'ajouter aux maisons existantes ou intégré dans des projets de construction neuves.
  • Le chauffage combiné pour chauffer des salles d'hôpital (bloc opératoire, salle d'accouchement). Le procédé s'appui sur des murs solaires radiants qui viennent en complément d'un chauffage au bois par le sol selon le principe des hammams.
  • Les poulaillers solaires: la technique est efficace, peu coûteuse et permet même de créer un nouveau type d'activité génératrice de revenus.
  • Les serres solaires agricoles. Elles permettent de produire des jeunes plants et de gagner ainsi 2 mois pour les plantations à l'extérieur, de sorte qu'il soit possible d'obtenir deux récoltes pendant l'été et de cultiver des légumes d'hiver (chou, navet) sous serres. De cette façon, les serres permettent aux agriculteurs de s'intégrer dans le système économique et également d'améliorer la ration alimentaire familiale. Ce procédé peut aussi faire double emploi lorsqu'il est couplé au système de chauffage des habitations individuelles ou collectives.

En 1989, les autorités locales et plusieurs ONG ont lancé un programme solaire de diffusion de serres solaires au Ladakh, où presque 9 500 serres ont été construites pour la population rurale du Ladakh.

fuente: http://geres.free.fr/fr/pays/pays.php?art=016


martes, 25 de agosto de 2009

BOUTEILLE D'EAU EN PAPIER


Une bouteille d’eau innovante a été inventée par Brandimage. Cette bouteille dénommée “360″ est réalisée avec du papier alimentaire 100 % recyclable et peut s’adapter à toutes les catégories de liquides.

Ce n’est un secret pour personne, les bouteilles en plastique remplissent les sites d’enfouissement des déchets. D’après Napcor, l’Association nationale pour le Recyclage des Contenants en PET (polyéthylène téréphtalate c'est à dire le plastique), 2,7 millions de tonnes de plastique PET ont été mises sur les linéaires aux Etats-Unis en 2006. Sur ces 2,7 millions de tonnes, 4/5ème ont été enfouies. L’utilisation des bouteilles plastiques augmente constamment. En 2005, 28 milliards de m3 d’eau ont été mis en rayon aux Etats-Unis. Soit 21 fois plus qu’en 1976.

Pour donner une idée sur le recyclage des bouteilles d'eau en plastique, il faut savoir par exemple que 60 millions de bouteilles plastiques sont jetés chaque jour aux Etats Unis. Seuls 14 % sont réellement recyclés, 86 % finissent donc résidus ménagers ou pire en déchets sauvages.

La philosophie du Design Responsable, que défend Brandimage, concilie innovation et responsabilité envers la planète et ses habitants, en prenant en considération l’impact environnemental. Le design de la Bouteille d’Eau en papier tient compte de tous les aspects de l’emballage de l’eau. Les normes de production ont totalement été remise en question : chargement, remplissage, matériel visible, impression, étiquetage, multi-packing, intégrité structurelle, ouverture et re-fermeture, et enfin, la manière dont le produit se décomposera une fois jeté.L’emballage utilise des feuilles de bambou et des feuilles de palmier cultivées selon les règles du développement durable, qui sont pressées pour former deux moitiés. Elles encapsulent un film micro-fin de PLA (un bioplastique d’origine végétale renouvelable) qui forme une barrière contre le liquide O2. Le matériau ainsi formé assure l’intégrité structurelle, fournit le support graphique et/ou une surface d’embellissement.

Boire de l’eau devient une toute nouvelle expérience : l’aspect du contenant, son toucher, la façon dont on l’utilise, jusqu’à la façon dont il finit sa vie.

Fuente: http://www.24pm.fr/Recyclage/Papier/336-une-bouteille-deau-en-papier-un-concept-de-design-repsonsable

Viviendas bioclimáticas en Vallecas, Madrid.


El Ayuntamiento de Madrid aprobó un proyecto de urbanización en las colonias municipales San Francisco Javier y Nuestra Señora de los Ángeles del distrito de Vallecas. De esta forma, se demolerán las residencias construidas en la década del ‘60 y se reemplazarán por viviendas bioclimáticas.

Con una inversión de casi 14 millones de euros, toda la zona será rediseñada, incluyendo los servicios públicos (alumbrado, agua, gas natural, telecomunicaciones, etc.). Las nuevas edificaciones presentarán como novedad su carácter ecológico. Cada casa contará con un sistema de energía renovable para su funcionamiento, lo que representa la primera iniciativa europea para la utilización de pilas de combustible en una aplicación estacionaria para viviendas.

El barrio contará además con un sistema no contaminante que abastecerá de energía a todos los edificios, mediante biogás que se obtiene de los desechos urbanos. Para esto, se construirá en forma subterránea una planta de producción termoeléctrica, que utilizará tecnologías de condensación, baja temperatura, energía solar térmica y pilas de combustible.

Esta central de producción generará electricidad para la red de distribución y calor para la calefacción y el agua caliente de las 2.069 viviendas del ecobarrio. El alcalde Alberto Ruiz-Gallardón aseguró que el rendimiento estacional anual del sistema rondará el 197%, frente al 60% que proporciona una caldera convencional.

Por otra parte, el barrio contará con una red de recogida neumática de residuos sólidos, que consiste en un conjunto de tuberías de aire a presión por donde se transportan los residuos desde las viviendas hasta el depósito de almacenamiento, donde los recogen los camiones de basura. Esta herramienta supone un ahorro del 30% respecto al coste del sistema convencional.

Fuente: http://elblogverde.com/crearan-el-primer-barrio-ecologico-en-madrid/


COSTA RICA y su NO EJERCITO

Cada primero de diciembre Costa Rica celebra uno de los acontecimientos más significativos de su historia, uno de los hitos más importante de su vida civilista en la búsqueda y consecusión de la paz y la democracia: la abolición del ejército como institución permanente.

El ejército hasta 1948 continúa manteniendo su presencia dentro de la organización del estado como una institución con fundamentos jurídicos y recursos económicos, que aunque escasos, siempre representaron una carga para el presupuesto nacional.

El 1º de diciembre de 1948, el General Figueres, victorioso en la guerra civil de ese año, disolvió el ejército en Costa Rica. En una emotiva ceremonia efectuada en lo que hoy es el Museo Nacional, de la cual fueron testigos, estudiantes, miembros del cuerpo diplomático y personalidades nacionales, el presidente de la Junta de Gobierno, José Figueres Ferrer, derribó de un mazazo unas piedras de un torreón del Cuartel Bellavista. Simboliza este hecho el fin de una era castrense y se iniciaba otra en la que la seguridad y la educación serían prioridades del gobierno.

En 1949, no sin antes haber enfrentado un intento de golpe de Estado, la eliminación del ejército fue incorporada en la constitución de 1949. Esto permitió utilizar los presupuestos antes asignados al ejército en el desarrollo del aparato educativo principalmente.

[...]

fuente: http://www.elespiritudel48.org/docu/h013.htm


lunes, 24 de agosto de 2009

PLANTACIÓN MASIVA DE ARBOLES EN COSTA RICA


La Oficina nacional Forestal (ONF) informó que más de 7 millones de árboles fueron plantados el año pasado en Costa Rica, con la finalidad de combatir el cambio climático y hacer un buen uso de los recursos naturales. La plantación se llevó a cabo dentro de la campaña "A que sembrás un árbol", que el Gobierno impulsa desde el pasado 2007 con el objetivo de promover la reforestación, los sistemas agroforestales y el manejo de los bosques. La meta del proyecto es mitigar los efectos y riesgos del cambio climático, conservar la biodiversidad del país, así como recuperar la cobertura forestal y mejorar las condiciones de vida de la sociedad, explicó en rueda de prensa Alfonso Barrantes, director de la ONF.

Por otro lado, la campaña también se engloba en el proyecto mundial "Plantemos por el Plantea" del Programa de las Naciones Unidas (ONU) para el Medio Ambiente.

En 2007, Costa Rica se puso el reto de plantar un total de cinco millones de árboles y lo superó por unos 990.000, mientras que el año pasado la meta estaba en siete millones y se sembraron 7.323 más.

Entre las principales especies sembradas están la teca, 26 por ciento, melina (18 por ciento), otras especies exóticas (11 por ciento) y especies nativas (45 por ciento), entre las que destacan el cedro, roble coral y el almendro amarillo, informó Barrantes.

El director de la ONF aseguró que los árboles ayudan a "producir madera sostenible, a proteger las cuencas hidrográficas y la biodiversidad, a generar empleo en zonas rurales y a embellecer el paisaje urbano".

Uno de los objetivos principales del proyecto es la recuperación de las cuencas hidrográficas, "un recurso vital para todos" y que, además, "ayuda a mitigar los efectos naturales extremos", fruto del cambio climático.

El ministro de Ambiente, Roberto Dobles, dijo que la meta para 2009 vuelve a estar en siete millones, pero aseguró que intentaran "reforzar las capacidades, para superar esta cifra significativamente".

fuente: http://ecoloquia.com/index.php?option=com_content&task=view&id=2078&Itemid=37

domingo, 23 de agosto de 2009

OSOS PANDA

China anunció el viernes el primer nacimiento exitoso de un cachorro de panda producto de la inseminación artificial mediante el uso de esperma congelado, dando una nueva opción a una especie en peligro y con escasas capacidades para la reproducción, informaron las autoridades.

Las hembras panda tienen sólo tres días al año durante los cuales pueden concebir. Esa es una de las razones de que esa especie corre peligro de extinción. La otra es el escaso interés que muestran los machos por las actividades reproductivas.

La panda You You dio a luz a un nuevo cachorro el jueves en la mañana en el Centro de Investigaciones de Pandas Gigantes Wolong, en el suroeste de Sichuan. Fue el tercer bebé de You You, y el 10mo cachorro de panda nacido en Wolong este año.

Poco después del amanecer, el cachorro de panda, rosado y lampiño, emergió del vientre de su madre. You You lamió el cuerpo del bebé para limpiarlo, según una secuencia de vídeo que pudo observarse en la red de televisión nacional CCTV.

Investigadores de pandas dijeron el viernes que creen que se trata del primer nacimiento exitoso de uno de esos animales tras ser inseminada la madre con esperma congelado.

“Intentamos antes, pero fracasamos”, dijo Huang Yan, un investigador del Centro de Investigaciones de Preservación de Pandas.

La técnica fue intentada en otros países, pero ésta es la primera instancia del nacimiento de un panda vivo, dijo Huang.

El esperma del panda Lolo había estado congelado “durante varios años”, dijo Huang, aunque no ofreció detalles.

La inseminación artificial es usada con frecuencia para la procreación de pandas, cuyos machos no son seres apasionados. En el 2006, 34 pandas nacieron mediante la inseminación artificial en China y 30 sobrevivieron. Ambas cifras son récord para esa especie en vías de extinción.
[...]
Desde 1975, cinco crías de panda han nacido en cautiverio en México, todas por reproducción natural.

Fuente: http://www.minuto59.com/tecnologia/exitoso-nacimiento-de-panda-por-inseminacion-artificial-con-esperma-congelado/

sábado, 22 de agosto de 2009

Copenhague IMPORTANTE

http://www.copenhague-2009.com/

ENERGIA SOLAR EN KENIA

Jóvenes de Kogelo, Kenia, junto con la Generación Solar de Greenpeace han instalado paneles solares en la escuela “Senador Barak Obama” de Kogelo, y en el tejado de la casa de Mama Sarah, abuela de Barack Obama, presidente de EEUU. De esta manera, estos jóvenes ecologistas quieren abordar el problema de la “pobreza energética” y el cambio climático. "Estoy muy contenta de que mi casa haya mejorado gracias a la energía solar y me aseguraré de que mi nieto lo sepa” dijo Mama Sarah. “La energía solar es limpia, segura y asequible, a diferencia del queroseno que se utiliza en esta zona. Además, ahora tenemos jóvenes cualificados en el pueblo que pueden ayudar en el mantenimiento de los sistemas" ha afirmado la abuela de Obama.

La instalación de paneles solares es una parte del taller de 20 días sobre energía renovable llevado a cabo por la Generación Solar de Greenpeace con 25 participantes del Programa Joven de la Comunidad de Kibera (1) y miembros de la comunidad de Nyang'oma Kogelo. Estos jóvenes kenianos están aprendiendo la instalación y el mantenimiento de paneles solares fotovoltaicos para la generación de electricidad, la fabricación de lámparas solares de automontaje y el potencial de su comercialización.

"El taller y las prácticas de la instalación de energía solar son una oportunidad para desarrollar nuestras propias capacidades en la instalación de energía renovable. No sólo queremos a actuar en contra de los efectos devastadores del cambio climático en Kenia, sino también desarrollar una fuente de ingresos " ha añadido Robert Kheyi, coordinador del proyecto para el Programa Joven de la Comunidad de Kibera.
Kenia, al igual que muchos otros países de África, se encuentra en la primera línea de los impactos del cambio climático. Se han reducido drásticamente las precipitaciones en los últimos años. La sequía ha agravado los problemas en la agricultura causados por el mal uso de la tierra y la desertificación, y hace imposible la utilización a gran escala de la energía hidroeléctrica.

Frente a estos retos, la inversión en tecnologías renovables como la energía solar es una estrategia ganadora que fortalece la economía y protege el medio ambiente, y garantiza al mismo tiempo una energía limpia y la seguridad de suministro. La industria solar está listo y es capaz de ofrecer la capacidad necesaria. No hay ningún impedimento técnico para ello, sólo es necesario el compromiso político para la reconstrucción del sector energético mundial. [...]

Fuente: http://www.greenpeace.org/espana/news/090820-03

viernes, 21 de agosto de 2009

SOJA RESPONSABLE


A l’issue de la quatrième réunion de la Table Ronde pour un Soja Responsable (RTRS) qui s’est tenue le 28 mai dernier au Brésil, une partie de la filière du soja s’est engagée à prendre des mesures pour améliorer ses pratiques de production afin de réduire son impact sur la forêt en particulier la perte des habitats naturels et de limiter les conflits de terre avec les petits paysans et les amérindiens.

La part de soja OGM dans le monde s’élève à 70%. L’expansion des productions de soja entraîne la perte dramatique d’habitats naturels, notamment les forêts et les savanes en Amérique du Sud. En France, la majorité du soja importé (4.5 Mt en 2007) est utilisé pour l’alimentation animale. Seulement 20% provient des filières non–OGM.

Le WWF-France demande de remplacer le soja par des protéines végétales produites localement et, pour la part de soja restant à importer, de se fournir en soja tracé Non-OGM, offrant de fortes garanties environnementales.

Durant les 12 prochains mois, le WWF maintiendra son niveau d’exigence sur la RTRS pour qu’elle améliore et consolide ses critères provisoires. Ces mesures incluent l’interdiction de convertir des zones à haute valeur de conservation – comme les forêts et les savanes, la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’élimination de l’utilisation des pesticides les plus dangereux.

Le WWF-France ne soutiendra la certification RDRS auprès des entreprises et du grand public qu’à partir du moment où un système sera mis en place pour différencier un soja avec ou sans OGM.

Fuente: http://www.wwf.fr/partenariats-entreprises/actualites-de-nos-partenariats/soja-enfin-responsable!

jueves, 20 de agosto de 2009

AVAAZ

http://www.avaaz.org/es/

El fin de las armas nucleares posible?

La crisis de proliferación de armas nucleares se va haciendo cada vez más patente en Corea del Norte, Irán y otras zonas del planeta.
Pero lejos de la esfera mediática, Global Zero, una nueva alianza de influyentes diplomáticos, expertos en seguridad y líderes de la sociedad civil, está comenzando a persuadir a las potencias nucleares de que hay una sola respuesta para resolver la crisis: la eliminación de todas las armas nucleares.
[...] 6 de Julio: los Presidentes Obama y Medvedev han acordado reducir su arsenal nuclear en un tercio. Este es un primer paso en la dirección correcta.

fuente: https://secure.avaaz.org/es/time_to_global_zero/


miércoles, 19 de agosto de 2009

Medio ambiente y plástico..

MADRID.- China ha declarado la guerra a la bolsa de plástico gratuita. Como ya ocurre en otras partes del mundo, el país oriental ha decidido reducir el uso masivo de este artículo cotidiano, que en sus poco más de 25 años de historia se ha convertido en un grave problema ambiental para todo el planeta. A partir del próximo 1 de junio, quedará prohibida la producción y el reparto gratuito de la bolsa de plástico más popular en los mercados, la ultrafina de 0,025 milímetros de grosor, bajo amenaza de una multa todavía sin especificar.

En España, el Ministerio de Medio Ambiente planea prohibir la bolsa de plástico de un solo uso para el año 2010. Además, algunos supermercados e hipermercados han empezado a implantar alternativas.

La reducción del uso de estas bolsas se ha convertido en una preocupación planetaria.

[...]

La situación es tal que el Ministerio de Medio Ambiente planea introducir en el Plan Nacional Integrado de Residuos 2008-2015 (PNIR) la prohibición de las bolsas de plástico de un solo uso para el año 2010. Esta medida no está incluida ahora mismo en el borrador del PNIR colgado en la web de Medio Ambiente. Sin embargo, el propio subdirector general de Prevención de Residuos del Ministerio, Juan Martínez Sánchez, confirmó su inclusión a la organización ecologista Greenpeace por correo electrónico hace sólo unos días.

Antes de llegar a esa fecha, ya son bastantes los supermercados e hipermercados del país que han introducido alguna alternativa a la bolsa de plástico para los clientes más concienciados. Estas son algunas de ellas:

  • Cobrar por la bolsa: Aunque la motivación no es tanto ecológica como económica, los supermercados DIA llevan años cobrando por las bolsas de plástico. El precio actual es de tres céntimos de euro. Medidas como esta, con un precio más alto, resultaron muy eficaces en países como Irlanda.
  • Ofrecer bolsas reutilizables: En Carrefour, los clientes pueden adquirir por un euro una bolsa reutilizable que pueden reponer cuando se rompa. Esta bolsa supone en su vida media un ahorro de unas 200 de plástico, según esta cadena de supermercados, que en 2006 distribuyó 240.000 de estas bolsas reutilizables. Esta medida también ha sido puesta en marcha por otras marcas, como Eroski, que pone a disposición de sus clientes unas por 15 céntimos, que también son restituidas al romperse.
  • Bolsas biodegradables: Es la última novedad de Alcampo, que desde hace unos meses ofrece a los clientes de todos sus establecimientos bolsas fabricadas con almidón de patata. Además de biodegradables, estas bolsas son más amplias y resistentes que las de plástico. Se cobran a 39 céntimos de euro cada una. Además, esta cadena de hipermercados cuenta con lo que llama la 'caja verde', una caja para pagar reservada a los clientes que lleven su propia bolsa o que utilicen las reutilizables de este establecimiento.
Fuente: http://www.soitu.es/soitu/2008/01/09/medioambiente/1199879020_135388.html